La thérapie par ventouses dans le traitement des tissus cicatriciels
Partager
Abstrait
L’objectif de cet article est de réaliser une revue narrative de l’approche des cicatrices par la médecine complémentaire et alternative en mettant l’accent sur l’ostéopathie, la naturopathie et d’autres méthodes mineures et les médecines traditionnelles de rééducation, telles que la physiothérapie et les thérapies manuelles. Nous avons analysé la littérature existante concernant les influences possibles des techniques de relaxation du diaphragme – techniques de relaxation manuelles et psychophysiques – et la réponse locale conséquente aux événements conduisant à la cicatrisation du tissu cicatriciel. L’objectif de l’étude est de devenir un instrument de connaissance utile pour les thérapeutes manuels et les professionnels qui s’occupent de patients affectés par une discontinuité de la surface cutanée due à un traumatisme ou à une intervention chirurgicale. Cet article vise également à stimuler la recherche afin de trouver et de proposer de nouvelles méthodes de traitement des cicatrices, en tenant compte des informations acquises jusqu’à présent dans d’autres disciplines complémentaires et alternatives.
Mots clés : cicatrice, plaie, médecine complémentaire et alternative, ostéopathie, naturopathie
Aller à :
La psyché et son influence sur la cicatrisation des tissus cicatriciels : techniques de relaxation, écriture expressive et hypnose
Il existe plusieurs hypothèses concernant l'altération des processus de cicatrisation du tissu cicatriciel.1 Les principaux types de cicatrices liées aux processus de cicatrisation non physiologiques sont les chéloïdes (K), les cicatrices hypertrophiques (HS) et les cicatrices atrophiques.1 Actuellement, il existe de nombreuses hypothèses, y compris la théorie de l'inflammation neurogène, expliquant les événements biochimiques altérés qui produisent des cicatrices, qui sont considérées comme traitables.2 Selon certains auteurs, ces hypothèses pourraient confirmer l'importance de l'effet psychologique sur la cicatrisation du tissu cicatriciel.3 Les effets du stress sur l'altération des paramètres inflammatoires, par la médiation de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), sont bien connus.2 Il a déjà été démontré comment la contention et la perturbation sociale peuvent activer le système HPA d'une manière différente, entraînant l'augmentation de la corticostérone dans le plasma en tant que réponse
L’objectif de cet article est de réaliser une revue narrative de l’approche des cicatrices par la médecine complémentaire et alternative en mettant l’accent sur l’ostéopathie, la naturopathie et d’autres méthodes mineures et les médecines traditionnelles de rééducation, telles que la physiothérapie et les thérapies manuelles. Nous avons analysé la littérature existante concernant les influences possibles des techniques de relaxation du diaphragme – techniques de relaxation manuelles et psychophysiques – et la réponse locale conséquente aux événements conduisant à la cicatrisation du tissu cicatriciel. L’objectif de l’étude est de devenir un instrument de connaissance utile pour les thérapeutes manuels et les professionnels qui s’occupent de patients affectés par une discontinuité de la surface cutanée due à un traumatisme ou à une intervention chirurgicale. Cet article vise également à stimuler la recherche afin de trouver et de proposer de nouvelles méthodes de traitement des cicatrices, en tenant compte des informations acquises jusqu’à présent dans d’autres disciplines complémentaires et alternatives.
Mots clés : cicatrice, plaie, médecine complémentaire et alternative, ostéopathie, naturopathie
Aller à :
La psyché et son influence sur la cicatrisation des tissus cicatriciels : techniques de relaxation, écriture expressive et hypnose
Il existe plusieurs hypothèses concernant l'altération des processus de cicatrisation du tissu cicatriciel.1 Les principaux types de cicatrices liées aux processus de cicatrisation non physiologiques sont les chéloïdes (K), les cicatrices hypertrophiques (HS) et les cicatrices atrophiques.1 Actuellement, il existe de nombreuses hypothèses, y compris la théorie de l'inflammation neurogène, expliquant les événements biochimiques altérés qui produisent des cicatrices, qui sont considérées comme traitables.2 Selon certains auteurs, ces hypothèses pourraient confirmer l'importance de l'effet psychologique sur la cicatrisation du tissu cicatriciel.3 Les effets du stress sur l'altération des paramètres inflammatoires, par la médiation de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), sont bien connus.2 Il a déjà été démontré comment la contention et la perturbation sociale peuvent activer le système HPA d'une manière différente, entraînant l'augmentation de la corticostérone dans le plasma en tant que réponse